[Asmodienne] Soryena

                               Nom :
Prénom : Soryena
Race : Asmodienne
Âge : Vingt six ans
Sexe : Femme
Etat : Humaine



Description physique :

Soryena est une jeune asmodienne à la peau pâle, qui vire vers le gris. Toujours habillée d'une tenue simple, elle n'arbore pas d'artifices, sauf la fleur dans ses cheveux qui accompagne une petite natte placée côté gauche. De taille moyenne, voire petite pour certains, cela l'avantage bien souvent dans ses travaux quotidiens. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, ses mains ne sont pas encore usées dû à son travail.


Description mentale :

Très joyeuse la plupart du temps même dans les moments difficiles, elle tente de toujours garder la tête haute même dans les pires instants. Très charitable également, elle n'hésiterait pas à donner au nécessiteux qui toquerait chez elle. Elle est également protectrice envers sa sœur cadette, depuis la mort de ses parents. Elle voue une profonde admiration envers les Daevas de son peuple.

Histoire :
Soryena naquit dans le village d'Alsig, en Morheim, dans une modeste famille de fermiers. Les conditions de vie étaient plutôt rudes, comme le climat. Les attaques sur le village étaient plutôt fréquentes, ce qui appris à Soryena de s'endurcir quant à la perte d'amis, ou de proches. Mais le pire arriva quand son père et sa mère furent tués par la maladie. Dévastée mentalement, Soryena trouva repère dans la musique, jouant de la harpe et quelques fois du violon ; c'était la seule solution pour elle d'oublier tout cela ; elle n'avait que seize ans quand ils sont partis. De plus, elle se devait aussi de réconforter sa sœur, tout aussi dévastée qu'elle.

Lors de la mort de ses parents, sa tante décida d'emmener loin Soryena et sa sœur d'Alsig, trop de souvenirs étant enfouis dans ce village. Elle leur acheta une petite maison, suffisante à elles deux, dans le village relativement tranquille des Chutes-Bénies. Là bas, Soryena avait tout en main ; elle réussit à cultiver un potager assez décent pour la nourrir elle et sa sœur, à élever quelques porgus pour la viande. Le temps passa, et Soryena avait bâti une nouvelle vie, en compagnie de sa sœur. Mais elle savait que même dans le village le plus tranquille, tout pouvait arriver ; elle était donc très protectrice, veillant à ce qu'il n'arrive rien à sa sœur... et à elle.


Ce qu'on dit d'elle/ de lui :
Villageois des Chutes-Bénies : Le son de sa harpe me berce toujours. C'est magnifique.
Tante de Soryena : Une fille pleine de joie, et de talents.



Est-ce que j'ai lu les divers règlements :